Qu’on se le dise, les sweats personnalisés sont tendances ! Porter un vêtement unique avec une création faite sur-mesure est un excellent moyen d’affirmer sa personnalité ! Que ce soit pour vous-même ou pour offrir, les possibilités sont infinies, seule votre imagination est la limite. En revanche, si vous pouvez vous autoriser toute fantaisie en termes de design, il faudra être plus rigoureux sur l’aspect production. Vos fichiers devront respecter certaines contraintes pour que le flockage soit réussi et vérifiez bien que vous pouvez passer commande sans minimum de quantités car contrairement à ce site d’impression de sweats personnalisés nombreux sont ceux qui vous demandent un minimum de 10 pièces ce qui rendra votre création moins unique. Ceci dit, voyons un peu comment bien préparer ses fichiers pour l’impression textile.
Maîtrisez vos couleurs sur le bout des doigts
Anticipez vos combinaisons de couleurs.
Cela peut sembler étrange pour commencer, mais en planifiant en amont votre palette de couleurs, vous pouvez éviter les contretemps de dernière minute. En effet, il faut que les couleurs de votre création s’adaptent à la celle du sweat que vous voulez flocker. A titre d’exemple si votre artwork contient des détails noirs mais que le sweat est noir, ils ne ressortiront pas et le rendu final en sera altéré. Pensez à toujours simuler les combinaisons de couleurs d’encre et de vêtements en créant des maquettes afin de vérifier les résultats à l’écran.
Optez pour les couleurs Pantone si vous avez un nuancier
Une des plus grandes erreurs est l’utilisation incorrecte des couleurs. Souvent, les gens choisissent les couleurs RVB de leurs logiciel de PAO comme Adobe Photoshop ou Illustrator et s’attendent à voir les résultats tels qu’ils apparaissent sur leur écran. Cependant le calibrage colorimétrique d’un écran est différent des machines d’impression et en procédant de la sorte, vous risquez d’avoir un résultat différent de celui que vous attendiez. La seule façon de garantir une correspondance de couleur exacte est de travailler avec des références identiques. Vérifiez donc que votre imprimeur possède le nuancier Pantone.
Les tracés vectoriels, une qualité conservée
Pour vos créations utilisez Adobe Illustrator lorsque c’est possible ou un équivalent comme inkscape car ils vous permettront de travailler avec des tracés vectoriels. Contrairement aux formats d’image JPG, GIF ou BMP, les graphiques vectoriels ne sont pas constitués d’une grille de pixels mais de courbes qui s’étirent et se rétrécisssent à l’infini sans perdre en qualité. La pixelisation qui se produit lors du redimensionnement des images qui ont été créées dans Photoshop par exemple est donc évité.
Les fichiers vectoriels vous permettent également de n’utiliser qu’un seul et même fichier que ce soit pour une impression de cartes de visite, une bannière publicitaire ou l’impression d’un hoodie.
En respectant ces quelques astuces vous fournirez des fichiers de qualité à votre imprimeurs dignes des professionnels de l’image et vous éviterez les mauvaises surprises au moment de la livraison.